article 42 code de procédure civile

JurisprudencesCode civil article 866. 42 résultats trouvés : | Belgique, Cour de cassation, 12 octobre 2017, C.17.0120.N se fonder à cet effet ni sur l'article866 ni sur l'article 1017 du Code judiciaire et qu'il ne peutCour de cassation de Belgique Arrêt * N° C.17.0120.N M.EX.T BELGIUM, s.a., Me Huguette Geinger, avocat à la Cour de cassation, contre TitreII. – de la procédure devant le tribunal correctionnel Section I. – d e la procédure ordinaire.. 368 à 398 Section II. – d e la procédure spéciale en cas de délit flagrant.. 399 à 402 . Titre III. – de l’appel des jugements correctionnels.. CODEDE PROCÉDURE CIVILE (Promulgué le 5 septembre 1896 et déclaré exécutoire à dater du 15 octobre 1896) Partie - PARTIE I PROCÉDURE DEVANT LES TRIBUNAUX. Livre - I DE LA JUSTICE DE PAIX. Titre - III DES JUGEMENTS. Section - I Des jugements en général. Article 71 .- ( Loi n° 876 du 26 février 1970 ; Loi n° 1.135 du 16 juillet 1990 ) Ladéclaration d'appel prévue à l'article 901 du code de procédure civile doit mentionner le nom des représentants des intimés en première instance.. Dans le cas prévu au deuxième alinéa de l'article 930-1, l'appelant remet au greffe autant d'exemplaires de la déclaration qu'il y a d'intimés et de représentants, plus deux.Le greffier adresse aussitôt Larticle 865 du Code de procédure civile permet cette action au juge-rapporteur devant le tribunal de commerce ou encore l'article 942 du Code de procédure civile permet le prononcé de l'astreinte au conseiller de la mise en état devant la cour d'appel. Il est établi également que la cour d'appel peut prononcer une astreinte, comme n'importe quel juge nonton film miracle in cell no 7 korea. Rappel des règles relatives à la procédure d’exequatur. I- Quelle est la définition de l’exequatur ? L’exequatur est une décision par laquelle le juge français rend exécutoire une sentence arbitrale, une décision de justice ou un acte étranger, sur le territoire national français. En l’absence de cette procédure, ces derniers n’auraient en principe pas force exécutoire, de sorte qu’ils ne sauraient être appliqués ni faire l’objet d’une exécution forcée en France. La procédure d’exequatur est prévue aux dispositions des articles 509 à 509-9 du Code de procédure civile ainsi que dans les différentes conventions internationales signées et ratifiées par la France. II- Quelle est la juridiction compétente pour connaître de la procédure d’exequatur ? La procédure d’exequatur relève de la compétence exclusive du Tribunal Judiciaire. La procédure est contradictoire. Le Tribunal est saisi par voie d’assignation ou par voie de requête conjointe des parties. Le recours à un avocat est obligatoire. Le Tribunal Judiciaire territorialement compétent est en principe celui du lieu où demeure le défendeur. Toutefois, l’article 42 du Code de procédure civile prévoit que si le défendeur n’a ni domicile ni résidence connus, le demandeur peut saisir la juridiction du lieu où il demeure ou encore celle de son choix s’il demeure à l’étranger. Enfin, le recours à la traduction assermentée peut-être nécessaire. III- Quelles sont les conditions pour engager une procédure d’exequatur ? Il importe de distinguer selon que la décision de justice étrangère a été rendue au sein de l’Union Européenne ou non. A- Si la décision de justice a été rendue au sein de l’Union Européenne. Il est inutile de recourir à la procédure d’exequatur pour les décisions rendues au sein de l’Union Européenne ayant trait à l’état civil des personnes mariage, adoption, etc. La reconnaissance de ces décisions est de plein droit en France et permet la transcription des décisions étrangères sur les actes d’état civil des personnes. Dans cette hypothèse, le demandeur doit procéder par voie de requête auprès du Service Central d’État Civil de Nantes. Par ailleurs, les décisions rendues au sein de l’Union Européenne ayant trait aux personnes et aux biens pension alimentaire, droit de visite, tutelle, droit de garde, etc. sont présentées au directeur de greffe du Tribunal Judiciaire compétent par le biais d’une requête aux fins de constatation de la force exécutoire. B- Si la décision de justice a été rendue en dehors de l’Union Européenne. Pour accorder l’exequatur en l’absence de conventions internationales à une décision de justice étrangère, le Juge français doit s’assurer que trois conditions sont remplies la compétence indirecte du juge étranger, fondée sur le rattachement du litige au juge saisi ; la conformité à l’ordre public international de fond et de procédure ; l’absence de fraude à la loi ; le juge de l’exequatur n’a donc pas à vérifier que la loi appliquée par le juge étranger est celle désignée par la règle de conflit de lois française. Attention ! Le Juge français ne peut pas intervenir dans l’application de la loi étrangère relevant de la seule autorité judiciaire étrangère et ne peut pas non plus modifier la décision étrangère. Ces conditions sont cumulatives, de sorte l’exequatur sera refusée si l’une des condition fait défaut. Introduire une demande de protection d’un proche devant un juge des tutelles pour obtenir un placement sous curatelle ou tutelle est une démarche qui doit remplir des conditions précises, définies par la loi. Notamment il est nécessaire de produire un certificat médical circonstancié par un expert inscrit sur la liste du procureur, sous peine d’irrecevabilité. Comment se le procurer, surtout si la personne que l’on veut protéger refuse de rencontrer le médecin expert ?Rappel de la loi Selon l’article 431 du code civil la demande est accompagnée, à peine d’irrecevabilité, d’un certificat circonstancié d’un médecin inscrit sur la liste du procureur, dont le coût sera uniforme et fixé par décret. Complété par l’article 1218 du code de procédure civile. – La requête aux fins d’ouverture d’une mesure de protection d’un majeur comporte, à peine d’irrecevabilité 1o Le certificat médical circonstancié prévu à l’article 431 du code civil ; 2o L’identité de la personne à protéger et l’énoncé des faits qui appellent cette protection au regard de l’article 428 du même code. Quel médecin est habilité à le délivrer ? Il s’agit d’un médecin expert inscrit sur la liste du procureur. Cette liste est distribuée par le greffe des tutelles du tribunal d’instance du lieu de résidence habituelle de la personne que l’on veut protéger. Ce tribunal territorialement est connu par le site du Ministère de la Justice. Aucun autre expert n’est compétent pour placer une mesure de protection. La personne qui est à l’initiative de la demande doit prendre rendez-vous par téléphone avec le médecin expert. Si votre proche peut se déplacer, le rendez-vous aura lieu au cabinet du médecin. Si elle ne peut pas, il viendra l’examiner à son domicile. Le coût du certificat est variable selon si le médecin voit la personne à son cabinet ou à son domicile. Quel est l’objet du certificat ? Il est défini par l’article 1219 du code de procédure civile. – Le certificat médical circonstancié prévu par l’article 431 du code civil 1° Décrit avec précision l’altération des facultés du majeur à protéger ou protégé ; 2° Donne au juge tout élément d’information sur l’évolution prévisible de cette altération ; 3° Précise les conséquences de cette altération sur la nécessité d’une assistance ou d’une représentation du majeur dans les actes de la vie civile, tant patrimoniaux qu’à caractère personnel, ainsi que sur l’exercice de son droit de vote. Le certificat indique si l’audition du majeur est de nature à porter atteinte à sa santé ou si celui-ci est hors d’état d’exprimer sa volonté. Le certificat est remis par le médecin au requérant sous pli cacheté, à l’attention exclusive du procureur de la République ou du juge des tutelles. Le médecin expert pourra solliciter l’avis du médecin traitant. Il est à souhaiter que cette possibilité devienne la règle, car le médecin traitant est l’un des intervenants le plus proche de la personne. Il sera peut-être moins réticent à répondre aux interrogations d’un de ses confrères lui-même soumis au secret médical. Une fois le certificat médical obtenu Le certificat médical sera remis sous plis cacheté à l’usage exclusif du juge des tutelles et du procureur de la République pour être déposé en même temps que la requête. Certains experts l’envoient directement au juge. En général, ils donnent sommairement à l’accompagnant le résultat de leur examen et indiquent s’ils préconisent une tutelle ou une curatelle. Mais ce n’est pas obligatoire. Les parties pourront consulter le certificat dans le dossier car elles y auront accès par autorisation du juge. Au cours de l’audition des parties, le juge en donnera lecture de toute façon. Seul l’avocat du majeur à protéger pourra en avoir une copie pour son simple usage personnel. Ainsi ce certificat est l’élément essentiel de la procédure. Si la personne protégée refuse de rencontrer le médecin Il est fréquent que la personne à protéger refuse de collaborer à la procédure. Deux solutions se présentent le certificat de carence et le signalement au procureur de la République. Le certificat de carence Le déni de la maladie est un des symptômes de la maladie dégénérative. Un certificat de carence du médecin expert, s’il est accompagné d’éléments complémentaires comme le mauvais entretien du logement, le non paiement des charges, le refus de la présence d’auxiliaires de vie et de prendre ses médicaments, permettra au juge d’ouvrir une procédure en vue d’une protection. Pour obtenir un certificat de carence si la personne faisant objet de la demande ne se rend pas au rendez-vous, 30 € forfaitaires seront à verser au médecin expert. Le signalement au procureur de la République Il existe un autre moyen de passer outre au refus de collaboration de la personne à protéger, c’est obtenir une désignation de l’expert par le procureur de la République. La demande, appelée signalement, est à adresser au service civil du Parquet du tribunal de grande instance du lieu de résidence habituelle par lettre, recommandée avec accusé de réception. L’adresse du tribunal compétent se trouve sur le site du Ministère de la Justice. Le signalement doit être le plus complet possible et expliquer pourquoi un besoin urgent de protection est nécessaire, notamment parce qu’il y a danger psychologique, physique ou financier grave pour la personne. Il sera accompagné des pièces justificatives et il est nécessaire de proposer de payer l’expert. En cas d’impossibilité le coût de l’expertise sera pris sur les fonds de l’aide juridictionnelle. Après une éventuelle vérification par la police, le procureur désignera un expert. Une telle décision est souvent efficace et l’expert peut ainsi se présenter muni d’un mandat judiciaire. La désignation de l’expert sur signalement par le procureur peut prendre plusieurs mois. Elle est donc à réserver aux cas graves de danger imminent pour la personne qui provoquera une décision au plus vite s’il est réellement prouvé. Pour faire lever ou réduire la mesure Pour éviter les frais, il a été admis par circulaire du Ministère de la Justice que le certificat du médecin traitant, généraliste ou spécialiste, est suffisant. Il arrive en effet souvent que le médecin expert examine la personne juste après une crise ou un accident de santé. Lorsque la personne est entendue par le juge on peut constater une nette amélioration de son état et le juge pourra prononcer une mesure moins grave comme une curatelle au lieu d’une tutelle, voire dire qu’il n’y a lieu à protection. En cas de doute ou de contradiction entre les deux certificats, le juge ordonnera une contre-expertise. Conseil pratique Il est rare que les médecins experts, très expérimentés, n’arrivent pas à entrer chez une personne. On peut tenter de faire prendre conscience à son proche que de refuser de participer à l’expertise est un bon moyen de se retrouver sous tutelle contre son gré. Il s’agit en effet d’un déni qui démontre en soi le besoin d’assistance ou de représentation et fait partie du diagnostic médical. L’on peut donc la persuader de collaborer en indiquant qu’elle pourra démontrer ainsi qu’elle est parfaitement capable de gérer ses affaires. C’est un bon argument qui fonctionne bien. Merci de vous connecter pour publier une discussion. Se connecterRessourceDu 25/05/2022 au 28/10/2022Nouvelle tournée pour la Caravane Tous Aidants » en 2022 Lieu 24 étapes dans toute la France En savoir plusDu 02/06/2022 au 24/01/2023Solutions Aidants des rendez-vous thématiques d'une heure pour vous apporter conseils et solutions pratiques Lieu Toute la France En savoir plusDu 18/10/2021 au 31/12/2022Allo Alzheimer, une antenne d'écoute pour vous Antenne d'écoute téléphonique En savoir plus réparation du préjudice né d’une infraction pénale LA RÉPARATION DU PRÉJUDICE NÉ D’UNE INFRACTION PÉNALE L’ACTION CIVILE Aux termes des articles 2 et 3 du Code de procédure pénale, l’action civile est une démarche en réparation du préjudice né d’une infraction. Elle repose exclusivement sur la responsabilité civile de l’auteur de l’infraction. I. — Les parties à l’action civile Réparation du préjudice né d’une infraction pénale A. — Les demandeurs à l’action civile L’intervention civile peut être exercée en vue d’obtenir la réparation d’un préjudice individuel ou collectif. a. — La réparation d’un préjudice individuel La victime d’un préjudice individuel doit pouvoir établir qu’elle a intérêt, capacité, et qualité à agir en justice. 1. — L’intérêt à agir en justice L’action civile en réparation du dommage causé par un crime, un délit ou une contravention appartient à tous ceux qui ont personnellement souffert du dommage directement causé par l’infraction article 2 du Code de procédure pénale. Il en résulte que le demandeur à l’action civile doit avoir subi — 1** Un préjudice actuel dont l’existence est certaine — 2** Un préjudice personnel dont l’existence est propre à l’intéressé — 3** Un préjudice direct dont l’existence se rattache à l’infraction 2. — La qualité à agir en justice Seules la victime de l’infraction et ses ayants cause ont qualité à mettre en œuvre l’action civile. 3. — La capacité à agir en justice La capacité juridique se définit comme la faculté pour une personne physique ou morale, à être titulaire de droits et à les exercer. En principe, elle est reconnue à tout individu demandeur justice ayant qualité à agir. Cependant, les mineurs non émancipés ainsi que les majeurs sous tutelle se trouvent considérés comme incapables, et ne peuvent agir que par l’intermédiaire de leur représentant légal. b. — La réparation d’un préjudice collectif Réparation du préjudice né d’une infraction pénale La loi reconnait le droit de se constituer partie civile et de mettre en œuvre l’action civile à certains groupements en raison de l’atteinte aux intérêts collectifs qu’ils représentent. 1. — Les associations Aux termes de l’article 2-1 du Code de procédure pénale, les associations ont la possibilité d’exercer l’action civile et d’agir en réparation d’un préjudice collectif, aux conditions suivantes — Être reconnues d’utilités publique ou agréées ; — Se proposer de défendre un intérêt collectif correspondant à celui prévu par la loi ; — Pour un nombre limité d’infractions prévues par les textes. À cela s’ajoute que dans certains cas, les associations doivent au préalable s’assurer de la mise en œuvre de l’action publique, ou solliciter l’accord de la victime pour que leur action soit recevable. 2. — Les ordres professionnels Ayant pour mission de garantir la dignité de la profession qu’ils représentent, mais aussi de faire respecter par les tiers les intérêts de celle-ci, les ordres professionnels peuvent être à l’origine de l’action civile si une infraction porte atteinte aux intérêts collectifs de l’activité qu’ils défendent. 3. — Les syndicats Sous réserve d’avoir une existence légale au jour de la commission des faits, l’action civile des syndicats est recevable si les faits dénoncés portent préjudice à l’ensemble de la profession. A contrario, lorsqu’une infraction a causé un préjudice à la seule personne appartenant ou représentée par le syndicat, ce dernier ne s’avère pas fondé à agir. B. — Les défendeurs à l’action civile Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Traditionnellement, l’action civile s’avère exercée à l’encontre de l’auteur de l’infraction ou de ses complices. Exceptionnellement, l’action civile pourra être dirigée contre l’assureur du prévenu ou de l’accusé, mais aussi contre ses héritiers en cas de décès ou un tiers civilement responsable de l’auteur des faits. II. — La mise en œuvre de l’action civile Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Il ressort des articles 3 et 4 du Code de procédure pénale que la partie civile peut, sauf exception, librement décider d’exercer son action devant le juge civil ou le juge pénal. A. — L’exercice de l’action civile devant le juge pénal L’action civile étant considérée comme un accessoire du jugement portant sur l’action publique, ce qui est jugé sur l’action publique a autorité sur l’action civile. Dès lors, la partie civile sera indemnisée en cas de déclaration de culpabilité. À l’inverse, elle sera déboutée si l’auteur des faits n’est pas reconnu coupable de l’infraction pour laquelle il était poursuivi. En tout état de cause, l’action civile peut être exercée, soit par voie d’action, soit par voie d’exception. a. — La constitution par voie d’action La constitution par voie d’action peut s’exercer par deux intermédiaires 1. — La citation directe délivrée par exploit d’huissier 2. — La plainte avec constitution de partie civile dans les conditions prévues par les articles 85 et suivants du Code de procédure pénale b. — La constitution par voie d’exception La victime peut agir de manière incidente à tout moment de la procédure 1. — Au stade de l’enquête avec accord du parquet et par demande formulée auprès d’un officier de police judiciaire, lequel doit en dresser 2. — un procès-verbal 3. — Au stade de l’instruction avec une simple déclaration verbale ou par une lettre dont il sera également dressé un procès-verbal. 4. — Avant l’audience par déclaration au greffe 5. — Pendant l’audience par déclaration consignée par le greffier ou dépôt de conclusions Il n’existe qu’une limite à la possibilité de se constituer partie civile en cours de procédure, tenant à l’appel. En effet, il s’avère exclu que la victime agisse en réparation de son préjudice devant le juge pénal en appel, si celle-ci n’a engagé aucune action au cours des phases antérieures de la procédure. B. — L’exercice de l’action civile devant le juge civil Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Il existe cependant des limites à la possibilité d’exercer l’action civile devant le juge civil. En effet, l’article 4 du Code de procédure pénale prévoit que lorsqu’une juridiction civile s’avère saisie d’une action en réparation d’un préjudice causé par une infraction pénale, elle doit impérativement surseoir à statuer dès lors que l’action publique se trouve mise en mouvement, et ce, tant qu’un jugement pénal au fond n’a pas été rendu. De plus, une fois que le jugement pénal rendu, le juge civil sera tenu au principe de l’autorité sur le civil de la chose jugée au pénal, la décision pénale de culpabilité ou d’innocence s’imposant au juge civil. En revanche, dès lors que la juridiction civile est saisie d’une autre action, la mise en mouvement de l’action publique ne lui impose pas la surseoir à statuer. Elle est donc libre de juger immédiatement ou d’attendre la décision pénale. En effet, ce choix relève du pouvoir discrétionnaire du juge civil, et le droit à la présomption d’innocence ne saurait y faire échec. III. — Contacter un avocat Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Pour votre défense a plainte avec constitution de partie civile action à fin civile prescription action civile urbanisme action à fin civile définition action à fins civiles définition prescription action civile infraction action au civil action au civil et au pénal prescription action civile 30 ans prescription action civile au pénal action civile action civile abus de biens sociaux porter plainte constitution partie civile Réparation du préjudice né d’une infraction pénale préjudice partie civile action civile abus de faiblesse action civile accessoire de l’action publique porter plainte avec constitution de partie civile lettre type porter plainte avec constitution de partie civile service public Fr action civile action pénale action civile action publique prescription d’une action civile action civile après action pénale action civile après classement sans suite plainte ou plainte avec constitution de partie civile plainte partie civile juge d’instruction action civile après condamnation pénale Réparation du préjudice né d’une infraction pénale action civile après relaxe plainte et action civile plainte et constitution partie civile action civile association action civile assurance emprunteur plainte contre x avec constitution de partie civile plainte contre x constitution partie civile action civile au pénal action civile avocat obligatoire plainte constitution partie civile modèle plainte constitution partie civile prescription action civile c’est quoi action civile code de procédure pénale Réparation du préjudice né d’une infraction pénale plainte constitution partie civile diffamation plainte constitution partie civile juge d’instruction action civile collective action civile conditions plainte constitution partie civile contre x plainte constitution partie civile ccp action civile construction illégale action civile contre les héritiers plainte constitution partie civile code procédure pénale plainte constitution partie civile contravention action civile contre une personne décédée action civile ccp plainte avec constitution de partie civile société Réparation du préjudice né d’une infraction pénale plainte avec constitution partie civile action civile dans le procès pénal action civile de plainte avec constitution de partie civile société plainte avec constitution partie civile action civile de l’administration action civile de l’auditorat du travail plainte avec constitution de partie civile plainte avec constitution de partie civile signature avocat action civile de l’état action civile définition plainte avec constitution de partie civile secret de l’instruction plainte avec constitution de partie civile service public action civile définition juridique Réparation du préjudice né d’une infraction pénale action civile demander justice plainte avec constitution de partie civile réforme plainte avec constitution de partie civile sans avocat action civile devant le juge civil action civile devant le juge pénal plainte avec constitution de partie civile querella plainte avec constitution de partie civile recevabilité action civile devant le tribunal correctionnel action civile devant les juridictions civiles plainte avec constitution de partie civile préjudice plainte avec constitution de partie civile prescription action civile diffamation action civile dissertation juridique plainte avec constitution de partie civile pas Réparation du préjudice né d’une infraction pénale plainte avec constitution de partie civile personne morale action civile droit pénal action civile d’une association plainte avec constitution de partie civile ou citation directe plainte avec constitution de partie civile parents action civile en contrefaçon action civile en contrefaçon de marque plainte avec constitution de partie civile montant de la consignation plainte avec constitution de partie civile origine action civile en démolition action civile en diffamation plainte avec constitution de partie civile modèle plainte avec constitution de partie civile modèle lettre action civile en droit pénal action civile en français Réparation du préjudice né d’une infraction pénale plainte avec constitution de partie civile irrecevable plainte avec constitution de partie civile juge d’instruction action civile en matière pénale action civile en procédure pénale plainte avec constitution de partie civile instruction plainte avec constitution de partie civile interrompt la prescription action civile en recouvrement action civile en réparation plainte avec constitution de partie civile information judiciaire plainte avec constitution de partie civile injure action civile et action pénale action civile et action publique différence plainte avec constitution de partie civile exemple Réparation du préjudice né d’une infraction pénale plainte avec constitution de partie civile harcèlement moral action civile et juge pénal action civile et pénal plainte avec constitution de partie civile et consignation plainte avec constitution de partie civile et prescription action civile et pénale action civile et publique plainte avec constitution de partie civile et abus de biens sociaux plainte avec constitution de partie civile et avocat action civile harcèlement action civile héritiers plainte avec constitution de partie civile élection de domicile plainte avec constitution de partie civile en ligne Réparation du préjudice né d’une infraction pénale action civile indemnisation action civile intérêt plainte avec constitution de partie civile dommages et intérêts plainte avec constitution de partie civile doyen juge d’instruction action civile intérêt à agir action civile intérêt général plainte avec constitution de partie civile délai plainte avec constitution de partie civile devant le procureur action civile intervention action civile irrecevable plainte avec constitution de partie civile courrier plainte avec constitution de partie civile déclaration d’adresse action civile juge civil Réparation du préjudice né d’une infraction pénale action civile juge pénal plainte avec constitution de partie civile contravention plainte avec constitution de partie civile contre x action civile juridictions pénales action civile militaire plainte avec constitution de partie civile compétence territoriale plainte avec constitution de partie civile consignation action civile mineur action civile mort plainte avec constitution de partie civile code de procédure pénale plainte avec constitution de partie civile code pénal action civile objectif action civile ou pénale plainte avec constitution de partie civile article Réparation du préjudice né d’une infraction pénale plainte avec constitution de partie civile avocat obligatoire action civile par voie d’action action civile par voie d’intervention plainte avec constitution de partie civile action publique plainte avec constitution de partie civile après classement sans suite action civile personne morale action civile pour diffamation partie civile sans demande de dommages-intérêts plainte avec constitution de partie civile action civile prescription action civile prescription pénale partie civile sanction pénale partie civile sans avocat Réparation du préjudice né d’une infraction pénale action civile procédure pénale action civile procès pénal partie civile procès pénal partie civile réparation préjudice action civile processus judiciaire action civile qualité à agir partie civile plainte partie civile procédure pénale action civile remboursement assurance action civile résultant d’une infraction partie civile ordonnance pénale partie civile pénal action civile rôle action civile sanctions Réparation du préjudice né d’une infraction pénale partie civile juge d’instruction partie civile juge pénal action civile sans action publique action civile signification plainte avec constitution de partie civile 3 mois plainte avec constitution de partie civile abusive action civile successorale plainte avec constitution de partie civile interruption prescription action civile syndicat l’action civile définition l’action civile des associations action civile texte action civile type constitution partie civile plainte Réparation du préjudice né d’une infraction pénale constitution partie civile sans plainte action civile urbanisme action civile victime constitution partie civile devant le juge d’instruction constitution partie civile juge d’instruction action civile victime par ricochet action civile vindicative constitution de partie civile juge d’instruction constitution partie civile devant juge d’instruction action de nature civile action en civile constitution de partie civile auprès du juge d’instruction constitution de partie civile devant le juge d’instruction modelé Réparation du préjudice né d’une infraction pénale action en justice civile action en réparation du préjudice avocat partie civile tribunal correctionnel action pénale et action civile action pénale et civile avocat partie civile Klaus Barbie avocat partie civile rôle action publique et action civile action publique et action civile procédure pénale avocat partie civile cour d’assises avocat partie civile définition action publique ou civile action société civile appel partie civile ordonnance juge d’instruction Réparation du préjudice né d’une infraction pénale audition de la partie civile par le juge d’instruction audition partie civile juge d’instruction avocat de la partie civile avocat parti civile banqueroute action civile but action civile cause d’extinction de l’action civile c’est quoi l’action civile citation directe et plainte avec constitution de partie civile comment se constituer partie civile devant le juge d’instruction comparaison action civile et action publique conditions d’exercice de l’action civile consignation plainte constitution partie civile constituer partie civile dommage et intérêt Réparation du préjudice né d’une infraction pénale constitution de partie civile après une plainte constitution de partie civile au pénal contrefaçon action civile ou pénale cout d’une plainte avec constitution de partie civile Dalloz action procédure civile 2019 Dalloz action procédure civile 2020 demande de dommage et intérêt partie civile demandeur à l’action civile dépôt de plainte constitution partie civile dépôt de plainte contre x avec constitution de partie civile diffamation action civile ou pénale dépôt plainte constitution partie civile désignation avocat partie civile instruction désistement d’action procédure Réparation du préjudice né d’une infraction pénale diffamation non publique plainte avec constitution de partie civile différence action civile et action publique différence action publique et action civile dommage et intérêt dommage et intérêt civil différence citation directe et plainte avec constitution de partie civile différence entre action civile et action pénale dommage et intérêt homicide involontaire dommage et intérêt partie civile différence entre action publique et action civile différence plainte avec constitution de partie civile et citation directe dommage et intérêt pour partie civile dommage et intérêt préjudice moral faire action civile dommage et intérêt psychologique Réparation du préjudice né d’une infraction pénale l’action civile dans le procès pénal la mise en mouvement de l’action civile faire action civile la mise en œuvre de l’action civile la partie civile dans le procès pénal dommage et intérêt victime dommages et intérêt frais d’avocat partie civile dommages et intérêts homicide involontaire exemple de plainte avec constitution de partie civile formulaire plainte avec constitution de partie civile frais plainte avec constitution de partie civile irrecevabilité d’une plainte avec constitution de partie civile la partie civile en procédure pénale Réparation du préjudice né d’une infraction pénale la plainte avec constitution de partie civile lettre constitution partie civile juge d’instruction lettre partie civile dommage et intérêt la réparation intégrale du préjudice l’action civile l’action civile dans le procès pénal lettre type plainte avec constitution partie civile modèle constitution partie civile juge d’instruction l’action civile des groupements en matière pénale l’action civile des héritiers de la victime partie civile appel pénal partie civile au pénal l’action civile des héritiers devant le juge pénal l’action civile des proches de la victime Réparation du préjudice né d’une infraction pénale partie civile au procès pénal partie civile avec avocat l’action civile devant les juridictions répressives l’action civile droit pénal partie civile avocat partie civile avocat commis d’office l’action civile en matière pénale l’action civile en procédure pénale partie civile avocat obligatoire partie civile avocat ou pas l’action civile et l’action pénale l’action civile et l’action publique partie civile code pénal partie civile composition pénale Réparation du préjudice né d’une infraction pénale l’action civile procédure pénale l’action en justice partie civile dommage et intérêt partie civile droit pénal l’action publique et l’action civile l’action publique et l’action civile en procédure pénale partie civile et action publique partie civile et avocat l’avocat de la partie civile modèle de constitution de partie civile devant le juge d’instruction ou déposer plainte avec constitution de partie civile partie civile et juge d’instruction partie civile instruction plainte procureur constitution partie civile Réparation du préjudice né d’une infraction pénale plainte sans constitution de partie civile se constituer partie civile juge d’instruction se constituer partie civile pendant l’instruction plainte simple ou avec constitution de partie civile plainte simple plainte avec constitution de partie civile procédure pénale et plainte avec constitution de partie civile qualité à agir action civile quand porter plainte avec constitution de partie civile qu’est-ce que la partie civile dans un procès rédaction plainte avec constitution partie civile rédiger une plainte avec constitution de partie civile relaxe et action civile réquisitoire introductif plainte avec constitution de partie civile retirer une plainte avec constitution de partie civile Réparation du préjudice né d’une infraction pénale retrait plainte constitution partie civile saisine juge d’instruction partie civile se constituer partie civile devant le juge d’instruction se constituer partie civile en cours d’instruction service d’action civile transaction action civile tribunal action civile un dépôt de plainte avec constitution de partie civile une action civile définition une plainte avec constitution de partie civile voie d’action civile à cause de cela Réparation du préjudice né d’une infraction pénale à cause de, ainsi, à nouveau, à partir de là, Ainsi, Alors que, Alors, Après cela, Après que, Aussi, bien que, car, Cependant Réparation du préjudice né d’une infraction pénale c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, Considérons, Contraste, D’autant plus, d’après, de ce fait, de façon, manière que, De la même manière Réparation du préjudice né d’une infraction pénale De même, enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxièmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En conséquence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, puis, En outre, finalement, en particulier Réparation du préjudice né d’une infraction pénale En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ensuite, étant donné que, Finalement, grâce à, il est question de, de même, Il s’agit de, il y a aussi, Mais Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Malgré cela, Malgré tout, Néanmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par conséquent, et aussi, Par contre, par exemple, évidemment, Par la suite, par rapport à, parce que, plus précisément, plus tard, Pour commencer Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Pour conclure, Pourtant, Premièrement, Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, touchant à, Tout d’abord, Toutefois, troisièmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, à cause de cela Réparation du préjudice né d’une infraction pénale à cause de, ainsi, à nouveau, à partir de là, Ainsi, Alors que, Alors, Après cela, Après que, Aussi, bien que, car, Cependant Réparation du préjudice né d’une infraction pénale c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, Considérons, Contraste, D’autant plus, d’après, de ce fait, de façon, manière que, De la même manière Réparation du préjudice né d’une infraction pénale De même, enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxièmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En conséquence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, puis, En outre, finalement, en particulier Réparation du préjudice né d’une infraction pénale En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ensuite, étant donné que, Finalement, grâce à, il est question de, de même, Il s’agit de, il y a aussi, Mais Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Malgré cela, Malgré tout, Néanmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par conséquent, et aussi, Par contre, par exemple, évidemment, Par la suite, par rapport à, parce que, plus précisément, plus tard, Pour commencer Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Pour conclure, Pourtant, Premièrement, Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, touchant à, Tout d’abord, Toutefois Réparation du préjudice né d’une infraction pénale troisièmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, voie d’intervention action civile vol action civile du cabinet Aci assurera efficacement votre défense. Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au téléphone ou bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation auteur, co-auteur, complice, receleur ou victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre défense durant la phase d’enquête garde à vue ; d’instruction juge d’instruction, chambre de l’instruction ; devant la chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire après le procès, auprès de l’administration pénitentiaire par exemple. IV. — Les domaines d’intervention du cabinet Aci La réparation du préjudice né d’une infraction pénale l’action civile Cabinet d’avocats pénalistes parisiens D’abord, Adresse 55, rue de Turbigo 75003 PARIS Puis, Tél Ensuite, Fax Engagement, E-mail contact Enfin, Catégories Premièrement, LE CABINET En premier lieu, Rôle de l’avocat pénaliste Réparation du préjudice né d’une infraction pénale En somme, Droit pénal Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Tout d’abord, pénal général Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Après cela, Droit pénal spécial les infractions du code pénal Puis, pénal des affaires Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Aussi, Droit pénal fiscal Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Malgré tout, Droit pénal de l’urbanisme Réparation du préjudice né d’une infraction pénale De même, Le droit pénal douanier Réparation du préjudice né d’une infraction pénale En outre, Droit pénal de la presse Réparation du préjudice né d’une infraction pénale Et ensuite, Réparation du préjudice né d’une infraction pénale pénal des nuisances Donc, pénal routier infractions Outre cela, Droit pénal du travail Malgré tout, Droit pénal de l’environnement Cependant, pénal de la famille En outre, Droit pénal des mineurs Ainsi, Droit pénal de l’informatique En fait, pénal international Tandis que, Droit pénal des sociétés Néanmoins, Le droit pénal de la consommation Toutefois, Lexique de droit pénal Alors, Principales infractions en droit pénal Puis, Procédure pénale Pourtant, Notions de criminologie En revanche, DÉFENSE PÉNALE Aussi, AUTRES DOMAINES Enfin, CONTACT. Le Quotidien du 23 avril 2010 Droit international privé Créer un lien vers ce contenu [Brèves] De la prorogation de compétence prévue à l'article 42, alinéa 2, du Code de procédure civile. Lire en ligne Copier La prorogation de compétence prévue par l'article 42, alinéa 2, du Code de procédure civile N° Lexbase L1198H47, applicable dans l'ordre international, ne permet pas d'attraire devant une juridiction française un défendeur demeurant à l'étranger lorsque la demande formée contre lui et un codéfendeur domicilié en France ne présente pas, à l'égard de ce dernier, un caractère sérieux, fût-elle connexe à une autre demande dirigée contre les mêmes défendeurs. Tel est l'apport majeur de l'arrêt rendu le 13 avril 2010 par la Chambre commerciale de la Cour de cassation Cass. com., 13 avril 2010, n° F-P+B N° Lexbase A0595EWX. En l'espèce, ayant retenu que les assureurs ne disposaient, pour le transport effectué sur le navire "Mol Oueme", d'aucune action personnelle et directe à l'encontre de la société M., domiciliée au Havre, et que celle-ci n'apparaissait pas à leur égard et pour le transport en question comme un défendeur sérieux, c'est à bon droit que la cour d'appel de Rouen en a déduit que les juridictions françaises n'étaient pas compétentes pour juger des demandes présentées au titre de ce transport. © Reproduction interdite, sauf autorisation écrite préalable newsid389510 Utilisation des cookies sur Lexbase Notre site utilise des cookies à des fins statistiques, communicatives et commerciales. Vous pouvez paramétrer chaque cookie de façon individuelle, accepter l'ensemble des cookies ou n'accepter que les cookies fonctionnels. En savoir plus Parcours utilisateur Lexbase, via la solution Salesforce, utilisée uniquement pour des besoins internes, peut être amené à suivre une partie du parcours utilisateur afin d’améliorer l’expérience utilisateur et l’éventuelle relation commerciale. Il s’agit d’information uniquement dédiée à l’usage de Lexbase et elles ne sont communiquées à aucun tiers, autre que Salesforce qui s’est engagée à ne pas utiliser lesdites données. Données analytiques Nous attachons la plus grande importance au confort d'utilisation de notre site. Des informations essentielles fournies par Google Tag Manager comme le temps de lecture d'une revue, la facilité d'accès aux textes de loi ou encore la robustesse de nos readers nous permettent d'améliorer quotidiennement votre expérience utilisateur. Ces données sont exclusivement à usage interne. Les impacts du décret n° 2019-1333 du 11 décembre 2019 réformant la procédure civile, sur la formalisation de la déclaration d’appel en matière civile avec représentation obligatoire. Le décret n° 2019-1333 du 11 décembre 2019 réformant la procédure civile a été publié au JO du 12 décembre 2019 Ci-après le Décret. Si la majeure partie de la réforme concerne le fonctionnement des juridictions d’instance avec notamment la création du Tribunal Judiciaire qui vient faire le pendant au Tribunal administratif, certaines de ses dispositions viennent impacter sensiblement la procédure devant la Cour d’appel. On ne peut que regretter que les documents d’information de la chancellerie[1], qui ont certes le mérite d’exister, ne traitent pas expressément de ces questions. Pour l’heure nous allons nous intéresser aux impacts du Décret sur la formalisation de la déclaration d’appel. En effet, un certain nombre de dispositions de la procédure d’appel font références aux règles de la procédure d’instance. L’article 901 du CPC dans sa version en vigueur au 1er janvier 2020 dispose que La déclaration d’appel est faite par acte contenant, outre les mentions prescrites par l’article 57, et à peine de nullité 1° La constitution de l’avocat de l’appelant ; 2° L’indication de la décision attaquée ; 3° L’indication de la cour devant laquelle l’appel est porté ; 4° Les chefs du jugement expressément critiqués auxquels l’appel est limité, sauf si l’appel tend à l’annulation du jugement ou si l’objet du litige est indivisible. Elle est signée par l’avocat constitué. Elle est accompagnée d’une copie de la décision. Elle est remise au greffe et vaut demande d’inscription au rôle. » Il convient de préciser que conformément au I. de l’article 55 du décret n° 2019-1333 du 11 décembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2020 et s’applique aux instances en cours à cette date. Il n’est plus fait référence à l’article 58 mais à l’article 57 du CPC qui avant la réforme concernait la procédure sur requête conjointe. L’article 57 du CPC dans sa version modifiée par le Décret précise désormais Lorsqu’elle est formée par le demandeur, la requête saisit la juridiction sans que son adversaire en ait été préalablement informé. Lorsqu’elle est remise ou adressée conjointement par les parties, elle soumet au juge leurs prétentions respectives, les points sur lesquels elles sont en désaccord ainsi que leurs moyens respectifs. Elle contient, outre les mentions énoncées à l’article 54 du CPC, également à peine de nullité lorsqu’elle est formée par une seule partie, l’indication des nom, prénoms et domicile de la personne contre laquelle la demande est formée ou s’il s’agit d’une personne morale, de sa dénomination et de son siège social ; dans tous les cas, l’indication des pièces sur lesquelles la demande est fondée. Elle est datée et signée. » L’article 54 du CPC dispose dans sa version en vigueur que La demande initiale est formée par assignation ou par requête remise ou adressée au greffe de la juridiction. La requête peut être formée conjointement par les parties. Lorsqu’elle est formée par voie électronique, la demande comporte également, à peine de nullité, les adresse électronique et numéro de téléphone mobile du demandeur lorsqu’il consent à la dématérialisation ou de son avocat. Elle peut comporter l’adresse électronique et le numéro de téléphone du défendeur. A peine de nullité, la demande initiale mentionne 1° L’indication de la juridiction devant laquelle la demande est portée ; 2° L’objet de la demande ; 3° a Pour les personnes physiques, les nom, prénoms, profession, domicile, nationalité, date et lieu de naissance de chacun des demandeurs ; il s’agit de la reprise de l’ancien article 58 du CPC b Pour les personnes morales, leur forme, leur dénomination, leur siège social et l’organe qui les représente légalement ; 4° Le cas échéant, les mentions relatives à la désignation des immeubles exigées pour la publication au fichier immobilier ; 5° Lorsqu’elle doit être précédée d’une tentative de conciliation, de médiation ou de procédure participative, les diligences entreprises en vue d’une résolution amiable du litige ou la justification de la dispense d’une telle tentative ; 6° L’indication des modalités de comparution devant la juridiction et la précision que, faute pour le défendeur de comparaître, il s’expose à ce qu’un jugement soit rendu contre lui sur les seuls éléments fournis par son adversaire. » Conformément au I de l’article 55 du décret n° 2019-1333 du 11 décembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2020. Elles sont donc applicables aux instances en cours à cette date. On se demande comment un article relatif à l’introduction d’une instance peut s’appliquer aux instances déjà introduites, il s’agit probablement d’une maladresse de rédaction plus que d’une volonté de conférer de facto un effet rétroactif à cet article. Il convient de reprendre point par point les mentions obligatoires exigées par le nouvel article 57 du CPC La mention de l’adresse électronique et du numéro de téléphone portable du demandeur Cette mention est prescrite à peine de nullité. On se demande si la présence de ces mentions vient se substituer ou seulement compléter les coordonnées du demandeur. A l’heure de la protection des données personnelles, on peut s’interroger sur l’opportunité de prévoir la transmission du numéro de téléphone portable du demandeur, le téléphone ayant une fonction bien plus large que la simple communication vocale SMS, identification géolocalisation etc.. Concernant les mentions listées 1° La juridiction ce champ de la DA est rempli automatiquement par le RPVA dans les procédures avec représentation obligatoire. 2°L’objet de la demande L’appel tend, par la critique du jugement à sa réformation ou à son annulation[2], depuis le 1er septembre 2019 l’objet de l’appel est complété par la liste des chefs dont appel. 3°L’identification des parties Cette dispositions reprennent celle de l’ancien article 58 du CPC qui a été totalement refondu. 4° Les modalités de comparution et l’information d’une décision rendue sur la base des informations de l’adversaire. Cette mention ne figurait pas dans l’ancien article 58 du CPC. On peut se demander si cette mention à vocation à s’appliquer à l’appel puisque l’article 902 du CPC prévoit déjà que le greffier informe la partie de l’obligation de constituer avocat. Toutefois cette obligation n’est que partielle puisque la greffe n’a pas l’obligation de préciser à quel barreau doit être inscrit lavocat ni le risque d’une décision par défaut. Il conviendra d’être vigilant car les modalités de comparution ne sont pas les mêmes dans la procédure avec représentation obligatoire selon que les règles de postulation territoriales s’appliquent ou non, notamment en matière sociale. Il y a lieu de relativiser la portée de cette liste de mention à caractère générique puisque nous sommes en présence de nullités de forme relevant du régime de larticle 112 du CPC qui impose la preuve d’un grief et la nécessité de soulever le moyen in limine litis devant le Conseiller de la mise en état ou devant le Président de chambre. Pour l’heure, il convient d’être prudent en l’absence de décision ou avis de la Cour de cassation alors même que les notes de la chancellerie précitées ne font aucune allusion à ces nouvelles dispositions dont on a bien l’impression qu’elles constituent les dommages collatéraux de la réforme de la procédure d’instance. En outre, le praticien va se heurter à l’absence de rubrique ou de champ pour l’insertion de la liste des pièces et des modalités de comparution. Le bon sens prévoit l’insertion de ces mentions dans le champ de 4080 caractères relatif à l’objet de l’appel. La question de la possibilité d’ajouter une pièce jointe se pose car l’article 57 précise que la requête contient la liste des pièces » et non pas qu’un bordereau y est annexé. En l’espèce, Dans sa circulaire du 4 août 2017 de présentation des dispositions du décret n°2017-891 du 6 mai 2017, la Chancellerie est venue préciser que Dans la mesure où le RPVA ne permet l’envoi que de 4080 caractères, il pourra être annexé à la déclaration d’appel une pièce jointe la complétant ». Contrairement à la liste des chefs du jugement aucune circulaire ne semble autoriser l’adjonction d’une pièce jointe. Cela étant, on peut observer que la pièce première sur laquelle se fonde l’appel est bien la décision dont appel qui est visée par définition. Ensuite, force est de constater que le grief causé sera impossible à démontrer si les pièces sont dans une annexe, si elles sont identiques à celle de première instance et surtout si un bordereau est annexé aux conclusions… Par précaution, il sera opportun de préciser que la liste des pièces est communiquée sous réserve de communication de pièces ultérieures. Comme à chaque réforme de procédure il conviendra d’être particulièrement prudent sur la lecture de ces nouveaux textes avant que les juridictions ne se prononcent. D’ici là, la vigilance s’impose ! [1] [2] 542 du Code de procédure civile

article 42 code de procédure civile